La manifestation de l’incivisme sur les école sénégalaises
Comportements inqualifiables aujourd’hui la société sénégalaise connait un sort inapproprié et défaillante.Qui gangrénées les valeurs ancestrales.
L’incivisme dans les pays démunis comme le Sénégal gagne de plus en plus de terrain dans la mesure où évoluant dans une pauvreté extrême sans précédent ; les parents ont démissionné de leurs rôles d’éducateurs à la base (famille), de même l’Etat confronté à de nombreuses difficultés peine à mobiliser les facteurs pouvant assurer une bonne éducation à sa jeunesse (une éducation inappropriée et défaillante). En outre il y a une culture de l’excuse empêchant de sanctionner à la limite, de punir les agissements de certains citoyens (ce n’est pas grave ; Dieu est Clémence). Les manifestations sont multiples : Dans tous les secteurs règnent l’anarchie : Combien de personnes parmi nous respectent la queue dans un service public ou un lieu quelconque parce qu’on est pressé ? Combien de bus ont été saccagé par les étudiants depuis l’indépendance ? Combien d’accidents de la circulation d’une rare intensité ont pu troubler tous les militants des droits de l’homme. Que de vies abrégées à cause de l’indiscipline notoire de « chauffards »conduisant en état d’ivresse ? Des marchands ambulants qui prennent possession de la chaussée mettant en péril leur vie sous le regard impuissant des services de l’ordre. De gros gaillards qui transforment les murs de paisibles citoyens en urinoirs.
Comportements inqualifiables aujourd’hui la société sénégalaise connait un sort inapproprié et défaillante.Qui gangrénées les valeurs ancestrales.
L’incivisme dans les pays démunis comme le Sénégal gagne de plus en plus de terrain dans la mesure où évoluant dans une pauvreté extrême sans précédent ; les parents ont démissionné de leurs rôles d’éducateurs à la base (famille), de même l’Etat confronté à de nombreuses difficultés peine à mobiliser les facteurs pouvant assurer une bonne éducation à sa jeunesse (une éducation inappropriée et défaillante). En outre il y a une culture de l’excuse empêchant de sanctionner à la limite, de punir les agissements de certains citoyens (ce n’est pas grave ; Dieu est Clémence). Les manifestations sont multiples : Dans tous les secteurs règnent l’anarchie : Combien de personnes parmi nous respectent la queue dans un service public ou un lieu quelconque parce qu’on est pressé ? Combien de bus ont été saccagé par les étudiants depuis l’indépendance ? Combien d’accidents de la circulation d’une rare intensité ont pu troubler tous les militants des droits de l’homme. Que de vies abrégées à cause de l’indiscipline notoire de « chauffards »conduisant en état d’ivresse ? Des marchands ambulants qui prennent possession de la chaussée mettant en péril leur vie sous le regard impuissant des services de l’ordre. De gros gaillards qui transforment les murs de paisibles citoyens en urinoirs.
Des élèves qui menacent et font preuve d’insolence verbales
et gestuelles à l’encontre de leurs professeurs. Combien de sachets plastiques
de crèmes sont jetés par terre alors que les corbeilles sont tout près. De
hautes autorités de notre pays (ministres, directeurs de société) qui sont
sensés nous diriger brulent les feux rouges ou conduisent en état d’ivresse ou
bien même sont auteurs d’insultes à la télévision nationales. Un discrédit, une
déconsidération des symboles de la nation par exemple : ne pas s’arrêter quand
on procède à la levée du drapeau national.
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